- Le désespoir
- L'espoir
- L'attente
- Le scepticisme
- La joie
- La re-joie (sic)
- La déception
- La re-déception (re-sic)
- L'allégresse
- L'ébullition
- La jubilation
C'est vraiment le yoyo des émotions !
Et chaque trouvaille soulève son lot de découvertes annexes. Ce n'est pas seulement une génération supplémentaire : c'est un nouveau lieu, un nouveau métier [ 1 ], de nouvelles personnes... Et de nouvelles questions. Si on continue avec cet exemple, pourquoi Boniface Grimaud, le père de Perrine, est successivement dit dans les différents documents où il est cité :
- tailleur d'habits (en 1693)
- "Maître" (en 1698)
- laboureur (en 1699)
- cabanier (fermier donc, en 1701/1705)
- fermier (en 1710/1712)
- "monsieur" (en 1716 et 1719)
De même, si le futur marié est jardinier puis laboureur, la future est dite "Dame". Et les cousins et témoins cités dans le contrat et l'acte de mariage sont archer de mairie, huissier, praticien, maître orfèvre, notaire royal, "escuyer" et chevalier.
Quel drôle de mélange social.
- Étonnement
- Tracas
- Confusion
- Interrogation
- Effervescence
- Espoir
- ...
[ 1 ] Le cabanier, en l'occurrence, qui est un fermier.
Tellement vrai et tellement riche! :) Bizarre que le métier change autant...
RépondreSupprimer-Les laboureurs pouvaient être aisés,sinon riches.
RépondreSupprimer-Rappelons nous le" riche laboureur" de Jean de La Fontaine....
-M@g.
Il faut savoir que souvent le métier de tailleur d'habits était exercé l'hiver quand il n'y avait rien à faire dans les champs, c'était en campagne profonde un métier secondaire pour nos ancêtres cultivateurs ...
RépondreSupprimerMerci pour cette façon très amusante et réaliste de raconter toutes les émotions que vivent les généalogistes à la recherche d'un acte !
RépondreSupprimerOutre votre narration drôle et pertinente, votre page m'a particulièrement intéressé car elle y mentionne un couple que j'ai aussi parmi mes ancêtres. Nous sommes donc cousins (par les Jadaud de St-Amand). Et c'est un couple sur lequel je bloquais aussi. Mais je n'avais pas vraiment approfondi mes recherches, pensant qu'il serait très difficile de remonter plus loin car la commune du décès de Mathurin n'a pas de registre paroissial antérieur à 1737.
RépondreSupprimerMerci de me prouver que j'avais tort ! Vos données sur Geneanet me seront précieuses et peut-être trouverai-je d'autres ancêtres communs avec les vôtres !
Stéphane L.
Merci d'avoir mis en mots de si belle manière ce que beaucoup d'entre nous vivent ou ont déjà vécu ;
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